pour soprano solo
1992 – 5’10
1. Le Mystère des trois cors : 2’25
2. La Chanson du petit hypertrophique : 1’10
3.Complainte de cette bonne Lune : 1’35
« …Sa poésie… caractérise bien le désenchantement d’une fin de siècle hantée par les décadences. Elle semble tendre un miroir à la musique de Lejeune, tendre et pince-sans-rire ». La voix est nue, sans accompagnement et se promène en funambule d’un registre à l’autre, adoptant sans trop y croire un ton faussement tragique ou gouailleur, légendaire ou étrange, qui convient à ces comptines désabusées ». (Jacques Bonnaure, 1993).