N.B. 1. Les chiffres romains, parfois accolés à la numérotation des séquences, indiquent les endroits où l’œuvre est divisible et où l’on peut ménager des pauses plus ou moins longues dans le temps de l’écoute, contrastant ainsi avec les autres parties de l’oeuvre qui sont reliées entre elles par la dynamique ou la poétique de la forme.
2. Les oeuvres ne précisant aucune nomenclature, sous-entendent qu’elles sont conçues pour bande magnétique.
3. Elles sont données par ordre aphabétique pour être appelée plus facilement.